34 ans, marié, 2 enfants 3 et 6 ans scolarisés à Jean Moulin et Jean Macé, Palaisien depuis 2003, fils d’un père conducteur d’engins (décédé) et d’une mère institutrice en classe maternelle à la retraite. Je suis professeur agrégé de sciences physiques et j’enseigne la chimie en classes préparatoires aux grandes écoles (seconde année) à l’Ecole Nationale de Physique et Chimie (Paris XIIIième).
Passionné par les questions d’éducation de pédagogie et de formation, je participe à de nombreuses activités en dehors de mon enseignement dans ces domaines (olympiades internationales de la chimie, manuels scolaires).
Si je me présente c’est pour faire en sorte que Palaiseau conserve son cadre de vie exceptionnel d’une ville alliant nature, culture, services ; diversité.
Ce qui motive mon engagement auprès de Bernard VIDAL:
– une attirance pour la politique de terrain
– j’aime les débats d’idées et de projet, le dialogue, la concertation. Je crois en ces valeurs aussi bien au niveau de l’éducation, qu’au niveau d’une ville, d’un quartier, ou d’une nation. Sans concertation préalable on ne peut pas avancer. Sans dialogue constructif voir contradictoire avec tout le monde, on ne pas espérer être approuvé dans ces choix. Echanger des idées ne me fait pas peur, tenir compte des remarques, critiques suggestions d’autres me semble enrichissant. Par contre dialogue, concertation ne doit pas signifier immobilisme, statu quo ; il faut éviter une inertie et pour cela chercher le compromis de manière démocratique.
– Je pense que Bernard est une personne qui ne cherche pas à avoir autour de lui des « petits soldats » qui pensent « tout » comme lui. Il est à l’écoute des idées de chacun. C’est un homme ouvert, qui cherche à s’entourer de personnalités de différents horizons tant politique que sociétal (chefs d’entreprise, salariés, fonctionnaires, commerçants) pour mieux représenter l’ensemble des palaisiennes et palaisiens. Un point essentiel pour moi c’est qu’il écoute et fait confiance « au jeune » ; ce n’est pas toujours facile à 34 ans d’intégrer une liste de candidats sans avoir l’impression d’être le petit jeune de service que l’on met sur la liste pour faire bien mais qu’en définitive on n’écoute pas.
Avec Bernard VIDAL, je sais que je peux proposer, débattre, contredire sans aucune gêne.
– Enfin, j’ai de nombreuses idées en matière d’éducation, de scolarités que j’aimerai proposer et débattre avec les palaisiens. L’école est de loin le bien le plus précieux, veillons à se donner tous les moyens pour que chaque enfant, chaque jeune prenne plaisir à s’instruire et à se construire. Cela passe bien évidemment par des moyens à évaluer et à faire évoluer au fil des ans. J’entends par moyens : créativité, originalité dans l’approche des problèmes et la recherche de solutions. Faisons dans l’éducation ce que les chercheurs font tous les jours dans les laboratoires : trouver des solutions innovantes, nouvelles, originales à des problèmes complexes.
Pour conclure, je dirais que s’investir en politique ce n’est pas une décision facile à prendre, il faut laisser l’égo de coté et prendre conscience qu’il s’agit d’un véritable engagement au service des autres et pas au service de soi-même. Il faut être à écoute de la population, débattre avec elle, convaincre et agir. Il faut aussi me semble-t-il faire preuve à tout instant d’esprit critique et agir avec beaucoup d’humilité. N’oublions jamais que derrière toute décision il y a l’argent engagé et cet argent provient des palaisiennes et des palaisiens !!!
Si je m’engage auprès de Bernard VIDAL, je le fais comme lorsque je me suis engagé dans l’enseignement : passionné, motivé et au service des autres.
Nicolas CHEYMOL
34 ans, marié, 2 enfants 3 et 6 ans scolarisés à Jean Moulin et Jean Macé, Palaisien depuis 2003, fils d’un père conducteur d’engins (décédé) et d’une mère institutrice en classe maternelle à la retraite. Je suis professeur agrégé de sciences physiques et j’enseigne la chimie en classes préparatoires aux grandes écoles (seconde année) à l’Ecole Nationale de Physique et Chimie (Paris XIIIième).
Passionné par les questions d’éducation de pédagogie et de formation, je participe à de nombreuses activités en dehors de mon enseignement dans ces domaines (olympiades internationales de la chimie, manuels scolaires).
Si je me présente c’est pour faire en sorte que Palaiseau conserve son cadre de vie exceptionnel d’une ville alliant nature, culture, services ; diversité.
Ce qui motive mon engagement auprès de Bernard VIDAL :
– une attirance pour la politique de terrain
– j’aime les débats d’idées et de projet, le dialogue, la concertation. Je crois en ces valeurs aussi bien au niveau de l’éducation, qu’au niveau d’une ville, d’un quartier, ou d’une nation. Sans concertation préalable on ne peut pas avancer. Sans dialogue constructif voir contradictoire avec tout le monde, on ne pas espérer être approuvé dans ces choix. Echanger des idées ne me fait pas peur, tenir compte des remarques, critiques suggestions d’autres me semble enrichissant. Par contre dialogue, concertation ne doit pas signifier immobilisme, statu quo ; il faut éviter une inertie et pour cela chercher le compromis de manière démocratique.
– Je pense que Bernard est une personne qui ne cherche pas à avoir autour de lui des « petits soldats » qui pensent « tout » comme lui. Il est à l’écoute des idées de chacun. C’est un homme ouvert, qui cherche à s’entourer de personnalités de différents horizons tant politique que sociétal (chefs d’entreprise, salariés, fonctionnaires, commerçants) pour mieux représenter l’ensemble des palaisiennes et palaisiens. Un point essentiel pour moi c’est qu’il écoute et fait confiance « au jeune » ; ce n’est pas toujours facile à 34 ans d’intégrer une liste de candidats sans avoir l’impression d’être le petit jeune de service que l’on met sur la liste pour faire bien mais qu’en définitive on n’écoute pas.
Avec Bernard VIDAL, je sais que je peux proposer, débattre, contredire sans aucune gêne.
– Enfin, j’ai de nombreuses idées en matière d’éducation, de scolarités que j’aimerai proposer et débattre avec les palaisiens. L’école est de loin le bien le plus précieux, veillons à se donner tous les moyens pour que chaque enfant, chaque jeune prenne plaisir à s’instruire et à se construire. Cela passe bien évidemment par des moyens à évaluer et à faire évoluer au fil des ans. J’entends par moyens : créativité, originalité dans l’approche des problèmes et la recherche de solutions. Faisons dans l’éducation ce que les chercheurs font tous les jours dans les laboratoires : trouver des solutions innovantes, nouvelles, originales à des problèmes complexes.
Pour conclure, je dirais que s’investir en politique ce n’est pas une décision facile à prendre, il faut laisser l’égo de coté et prendre conscience qu’il s’agit d’un véritable engagement au service des autres et pas au service de soi-même. Il faut être à écoute de la population, débattre avec elle, convaincre et agir. Il faut aussi me semble-t-il faire preuve à tout instant d’esprit critique et agir avec beaucoup d’humilité. N’oublions jamais que derrière toute décision il y a l’argent engagé et cet argent provient des palaisiennes et des palaisiens !!!
Si je m’engage auprès de Bernard VIDAL, je le fais comme lorsque je me suis engagé dans l’enseignement : passionné, motivé et au service des autres.