Les élections cantonales passées, l’installation faite du nouveau Conseil Général composé d’un président et d’une forte majorité d’élus de gauche et voila qu’arrivent les premières décisions douloureuses et soit-disant non prévues.
Pour preuve, le vote de lundi 14 avril 2008 par C. Robillard et ses amis socialistes de l’augmentation en 2008 de la part départementale des impôts locaux : +3,5% pour la taxe d’habitation et de +3,9% sur le foncier bâti.
Alors même qu’en janvier 2008, ces mêmes socialistes votaient une délibération gelant les taux d’imposition départementaux.
On peut donc penser que l’argument des socialistes lors de la campagne "Le pouvoir d’achat, il ne faut pas en parler, il faut l’augmenter" n’était qu’une boutade et n’aura tenu que le temps de la campagne électorale.
Augmenter les impôts pour financer de nouvelles dépenses et surtout ne rien changer aux modes de gestion, c’est la politique de la résignation et de la facilité. Ce n’est pas une politique d’avenir : il est plus que temps d’en terminer avec l’idée de l’impôt correcteur d’inégalités et créateur de richesses.
Vous trouverez ci-dessous quelques articles de presse extraits du journal "Le Parisien" édition Essonne et traitant du sujet :
Annonce d’une nouvelle augmentation des impôts
Les élections cantonales passées, l’installation faite du nouveau Conseil Général composé d’un président et d’une forte majorité d’élus de gauche et voila qu’arrivent les premières décisions douloureuses et soit-disant non prévues.
Pour preuve, le vote de lundi 14 avril 2008 par C. Robillard et ses amis socialistes de l’augmentation en 2008 de la part départementale des impôts locaux : +3,5% pour la taxe d’habitation et de +3,9% sur le foncier bâti.
Alors même qu’en janvier 2008, ces mêmes socialistes votaient une délibération gelant les taux d’imposition départementaux.
On peut donc penser que l’argument des socialistes lors de la campagne "Le pouvoir d’achat, il ne faut pas en parler, il faut l’augmenter" n’était qu’une boutade et n’aura tenu que le temps de la campagne électorale.
Augmenter les impôts pour financer de nouvelles dépenses et surtout ne rien changer aux modes de gestion, c’est la politique de la résignation et de la facilité. Ce n’est pas une politique d’avenir : il est plus que temps d’en terminer avec l’idée de l’impôt correcteur d’inégalités et créateur de richesses.
Vous trouverez ci-dessous quelques articles de presse extraits du journal "Le Parisien" édition Essonne et traitant du sujet :
Nous vous invitons également à consulter le site Internet des élus de l’UMP au Conseil Général de l’Essonne : http://www.umpca.com/