Ce vendredi 23 septembre 2010, le Président de la République s’est à nouveau rendu sur le plateau de Saclay, d’abord à Nano-INNOV puis à l’Institut d’Optique, deux institutions situées à Palaiseau.
Première surprise et grande satisfaction : AgroParis Tech fera partie des premiers projets à s’installer sur le plateau. Qu’est-ce que cela signifie ? La certitude d’avoir une emprise foncière dédiée à l’agriculture et la perspective de voir enfin émerger un projet pour l’agriculture de demain.
Deuxième satisfaction : les transports en commun sont des projets mutuels de l’Etat et de l’ensemble des collectivités locales. Il s’agit là d’une véritable main tendue de l’Etat qui entend « parvenir à un accord global sur un schéma de transports partagé qui portera et incarnera le Grand Paris ».
Troisième motif de satisfaction, y compris et surtout pour les élus locaux : « ici comme ailleurs, l’Etat sait ce qu’il veut, mais il respecte les élus locaux. Il ne décide pas et ne décidera pas de tout ». Les élus sont en effet majoritaires au sein de l’Etablissement public Paris Saclay.
Face à ce constat, l’attitude du président de la CAPS et maire de Palaiseau est particulièrement incompréhensible : pourquoi s’obstine t-il à se présenter comme une victime impuissante face à la toute puissance de l’Etat ?
Un point a toutefois attiré notre attention : le Président de la République a bien réaffirmé qu’il n’a pas l’intention de recouvrir « ce territoire de béton et de bitume », mais nous avons noté qu’il n’était question, dans son discours, que de la préservation de 2300 hectares de «territoires naturels» et non de 2300 hectares de terres agricoles.
La vigilance est de mise mais nous sommes raisonnablement optimistes : le projet initial a déjà tellement progressé dans le sens de la protection du plateau que nous sommes confiants sur la question des terres agricoles. Le projet doit encore évoluer et nous allons nous y employer.
Visite de Nicolas Sarkozy sur le plateau de Saclay : des bonnes nouvelles
Ce vendredi 23 septembre 2010, le Président de la République s’est à nouveau rendu sur le plateau de Saclay, d’abord à Nano-INNOV puis à l’Institut d’Optique, deux institutions situées à Palaiseau.
Première surprise et grande satisfaction : AgroParis Tech fera partie des premiers projets à s’installer sur le plateau. Qu’est-ce que cela signifie ? La certitude d’avoir une emprise foncière dédiée à l’agriculture et la perspective de voir enfin émerger un projet pour l’agriculture de demain.
Deuxième satisfaction : les transports en commun sont des projets mutuels de l’Etat et de l’ensemble des collectivités locales. Il s’agit là d’une véritable main tendue de l’Etat qui entend « parvenir à un accord global sur un schéma de transports partagé qui portera et incarnera le Grand Paris ».
Troisième motif de satisfaction, y compris et surtout pour les élus locaux : « ici comme ailleurs, l’Etat sait ce qu’il veut, mais il respecte les élus locaux. Il ne décide pas et ne décidera pas de tout ». Les élus sont en effet majoritaires au sein de l’Etablissement public Paris Saclay.
Face à ce constat, l’attitude du président de la CAPS et maire de Palaiseau est particulièrement incompréhensible : pourquoi s’obstine t-il à se présenter comme une victime impuissante face à la toute puissance de l’Etat ?
Un point a toutefois attiré notre attention : le Président de la République a bien réaffirmé qu’il n’a pas l’intention de recouvrir « ce territoire de béton et de bitume », mais nous avons noté qu’il n’était question, dans son discours, que de la préservation de 2300 hectares de «territoires naturels» et non de 2300 hectares de terres agricoles.
La vigilance est de mise mais nous sommes raisonnablement optimistes : le projet initial a déjà tellement progressé dans le sens de la protection du plateau que nous sommes confiants sur la question des terres agricoles. Le projet doit encore évoluer et nous allons nous y employer.