En 2006, l’équipe majoritaire avait adopté un plan local d’urbanisme ouvrant l’urbanisation de 40 hectares à l’Ouest de l’école Polytechnique pour accueillir un pôle scientifique.
En juillet 2009 cette même équipe avait donné un avis favorable à la création d’une ZAC sur le quartier Ouest de l’école Polytechnique.
Lors du conseil municipal du 10 mars, la majorité municipale s’est rétractée. Avec le changement d’opérateur, l’avis du conseil municipal était de nouveau sollicité pour la création d’une ZAC au périmètre étendue à l’enceinte de l’école Polytechnique, avec des modalités et des objectifs en tous points identiques à ceux de juillet 2009. Le maire, François Lamy, a tenté de justifier son opposition à cette ZAC en accusant l’Etat de ne pas tenir compte des attentes exprimées par la ville de Palaiseau.
Les élus de Palaiseau A Venir dénoncent cette instrumentalisation du conseil municipal à des fins politiciennes.
Après le refus de signer le permis de construire d’EDF sur cette même zone, revenant sur ses engagements, le maire de Palaiseau utilise tous ses pouvoirs pour retarder les projets de l’Etat. Il pratique la politique de la chaise vide, refusant de siéger au conseil d’administration de l’établissement public Paris Saclay (EPPS) chargé de mettre en place le pôle scientifique et dans le même temps, il reproche à l’Etat de ne pas l’écouter.
Il fait du chantage en subordonnant sa collaboration à l’entrée des Ulis dans la CAPS. Cette décision n’étant pas du ressort de l’EPPS, cette condition ne peut juridiquement pas être satisfaite.
Il demande à l’Etat de valoriser les richesses naturelles du plateau de Saclay alors même qu’en tant que président de la CAPS, il milite pour une urbanisation de 300 hectares sur toute la frange sud du plateau.
N’en étant pas à une contradiction prés, il refuse une gare du métro automatique mais appelle à un développement du secteur, il prétend protéger l’agriculture, mais ne participe pas à la délimitation de la zone agricole à laquelle s’est attelé l’EPPS.
Cette opposition frontale ne trompe plus personne : le maire de Palaiseau mène un combat politicien au détriment de la réalisation de projets.
Les élus du groupe Palaiseau A Venir : B. Vidal, C. Vittecoq, F. Vigouroux, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain
Les incohérences du maire de Palaiseau
En juillet 2009 cette même équipe avait donné un avis favorable à la création d’une ZAC sur le quartier Ouest de l’école Polytechnique.
Lors du conseil municipal du 10 mars, la majorité municipale s’est rétractée. Avec le changement d’opérateur, l’avis du conseil municipal était de nouveau sollicité pour la création d’une ZAC au périmètre étendue à l’enceinte de l’école Polytechnique, avec des modalités et des objectifs en tous points identiques à ceux de juillet 2009. Le maire, François Lamy, a tenté de justifier son opposition à cette ZAC en accusant l’Etat de ne pas tenir compte des attentes exprimées par la ville de Palaiseau.
Les élus de Palaiseau A Venir dénoncent cette instrumentalisation du conseil municipal à des fins politiciennes.
Après le refus de signer le permis de construire d’EDF sur cette même zone, revenant sur ses engagements, le maire de Palaiseau utilise tous ses pouvoirs pour retarder les projets de l’Etat. Il pratique la politique de la chaise vide, refusant de siéger au conseil d’administration de l’établissement public Paris Saclay (EPPS) chargé de mettre en place le pôle scientifique et dans le même temps, il reproche à l’Etat de ne pas l’écouter.
Il fait du chantage en subordonnant sa collaboration à l’entrée des Ulis dans la CAPS. Cette décision n’étant pas du ressort de l’EPPS, cette condition ne peut juridiquement pas être satisfaite.
Il demande à l’Etat de valoriser les richesses naturelles du plateau de Saclay alors même qu’en tant que président de la CAPS, il milite pour une urbanisation de 300 hectares sur toute la frange sud du plateau.N’en étant pas à une contradiction prés, il refuse une gare du métro automatique mais appelle à un développement du secteur, il prétend protéger l’agriculture, mais ne participe pas à la délimitation de la zone agricole à laquelle s’est attelé l’EPPS.
Cette opposition frontale ne trompe plus personne : le maire de Palaiseau mène un combat politicien au détriment de la réalisation de projets.
Les élus du groupe Palaiseau A Venir : B. Vidal, C. Vittecoq, F. Vigouroux, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain