Lancement de la concertation préalable à la création d’une ZAC (zone d’aménagement concertée) sur Polytechnique et son quartier Ouest.L’amphithéâtre de IOTA (150 places) était plein, preuve s’il en était besoin, que le sujet passionne les riverains. Que retenir de cette présentation faite par l’EPPS (Etablissement Public Paris Saclay) ? Tout d’abord la réaffirmation de la délimitation d’une zone de 2300 hectares de terres agricoles et la réflexion sur un périmètre plus vaste qualifié de « naturel et forestier ».
Ensuite la présentation d’espaces verts, de grands arbres et au milieu des bâtiments abritant des chercheurs et des étudiants. Aucune localisation précise, mais une tendance. L’argument est que présenter un projet déjà bouclé ne serait pas compatible avec une véritable concertation. Dont acte. Enfin, peu de réponses sur les éternelles problématiques des liaisons vallée/plateau (un téléphérique entre la gare d’Orsay et le Moulon ? une noria de navettes entre le Guichet et le plateau ?) et sur la répartition des rôles entre les différents acteurs : l’Etat installe les grandes écoles, les élus locaux font les logements et quant aux transports en commun, c’est l’affaire de tout le monde (Etat, Stif, CAPS, etc…). Quelle conclusion ? Sans doute un espoir de voir enfin un projet cohérent sortir de terre avec une réelle protection de notre environnement. Mais parallèlement une inquiétude quant au « produit fini » qui nous sera livré dans 10 ou 20 ans. En tant qu’élu d’opposition à Palaiseau, nous nourrissons d’autant plus d’inquiétudes que notre maire a délibérément choisi de ne pas jouer le jeu. Au moment où il faudrait beaucoup d’intelligence pour faire aboutir un projet particulièrement complexe, il claque la porte de l’EPPS. Cette posture n’est sans doute pas la meilleure façon d’obtenir des avancées…
Concertation à Palaiseau sans le maire
Que retenir de cette présentation faite par l’EPPS (Etablissement Public Paris Saclay) ?
Tout d’abord la réaffirmation de la délimitation d’une zone de 2300 hectares de terres agricoles et la réflexion sur un périmètre plus vaste qualifié de « naturel et forestier ».
Ensuite la présentation d’espaces verts, de grands arbres et au milieu des bâtiments abritant des chercheurs et des étudiants. Aucune localisation précise, mais une tendance. L’argument est que présenter un projet déjà bouclé ne serait pas compatible avec une véritable concertation. Dont acte.
Enfin, peu de réponses sur les éternelles problématiques des liaisons vallée/plateau (un téléphérique entre la gare d’Orsay et le Moulon ? une noria de navettes entre le Guichet et le plateau ?) et sur la répartition des rôles entre les différents acteurs : l’Etat installe les grandes écoles, les élus locaux font les logements et quant aux transports en commun, c’est l’affaire de tout le monde (Etat, Stif, CAPS, etc…).
Quelle conclusion ?
Sans doute un espoir de voir enfin un projet cohérent sortir de terre avec une réelle protection de notre environnement. Mais parallèlement une inquiétude quant au « produit fini » qui nous sera livré dans 10 ou 20 ans.
En tant qu’élu d’opposition à Palaiseau, nous nourrissons d’autant plus d’inquiétudes que notre maire a délibérément choisi de ne pas jouer le jeu. Au moment où il faudrait beaucoup d’intelligence pour faire aboutir un projet particulièrement complexe, il claque la porte de l’EPPS. Cette posture n’est sans doute pas la meilleure façon d’obtenir des avancées…