En ce 11 novembre 2011 les Palaisiens étaient assez nombreux à se recueillir devant le monument aux morts dans le cimetière de Palaiseau.
Les enfants ont lu un texte, les associations patriotiques se sont exprimées, et le sous-préfet a lu la déclaration du président de la République. Le 11 novembre étant l’armistice qui a mis fin à la Grande Guerre, tout le monde s’est bien sûr exprimé sur l’horreur de cette guerre absurde et meurtrière.
Notre maire a fait différemment. Après un hommage aux morts de 1914-18, il n’a pas pu s’empêcher de s’en prendre au gouvernement. En cause la proposition du président de la République de faire du 11 novembre une journée unique pour célébrer tous les soldats morts pour la France. Le maire a estimé que c’était la porte ouverte à l’oubli et qu’il fallait absolument conserver toutes nos dates commémoratives.
Pourquoi, alors, le maire était-il absent de Palaiseau le 11 novembre 2010 ? Pourquoi n’était-il pas présent le 24 avril 2011 pour la libération des camps, le 18 juin pour l’appel du général de Gaulle et le 24 août pour la libération de Palaiseau ?
Serait-ce, encore et toujours, une posture politique ?
Pas d’armistice pour le maire de Palaiseau !
Les enfants ont lu un texte, les associations patriotiques se sont exprimées, et le sous-préfet a lu la déclaration du président de la République. Le 11 novembre étant l’armistice qui a mis fin à la Grande Guerre, tout le monde s’est bien sûr exprimé sur l’horreur de cette guerre absurde et meurtrière.
Notre maire a fait différemment. Après un hommage aux morts de 1914-18, il n’a pas pu s’empêcher de s’en prendre au gouvernement. En cause la proposition du président de la République de faire du 11 novembre une journée unique pour célébrer tous les soldats morts pour la France. Le maire a estimé que c’était la porte ouverte à l’oubli et qu’il fallait absolument conserver toutes nos dates commémoratives.
Pourquoi, alors, le maire était-il absent de Palaiseau le 11 novembre 2010 ? Pourquoi n’était-il pas présent le 24 avril 2011 pour la libération des camps, le 18 juin pour l’appel du général de Gaulle et le 24 août pour la libération de Palaiseau ?
Serait-ce, encore et toujours, une posture politique ?