Retrouvez notre tribune du Palaiseau Mag du mois de mai
Cette année le budget a été bouclé au dernier moment : documents budgétaires fournis aux élus « sur table » au dernier moment en commission. Pourtant, d’autres villes, comme Massy, sont parvenues à voter leur budget 2011 en décembre 2010.
Rien d’étonnant : l’équipe majoritaire de gauche répugne à faire des choix économes.
La dette ne baisse pas : son niveau de 2011 avoisine celui de 2001 en intégrant les 1,8M€ d’emprunt du cinéma. Quant à l’érosion monétaire, elle est compensée par le transfert de la dette de la ville sur la CAPS : avec le transfert de certains équipements sportifs et culturels, des voiries, la ville transfère aussi sa dette. Difficile d’affirmer qu’il s’agit d’une bonne opération : la dette sera toujours payée par de l’argent public.
Pour les dépenses de fonctionnement de la ville, le maire choisit encore le statu quo. Nous avons demandé une baisse des dépenses de communication et du poste « Fêtes et manifestations ». Refus catégorique.
Les dépenses de personnel atteignent toujours un niveau sclérosant, captant 62% des dépenses réelles de fonctionnement (56,5% pour les villes comparables). L’équipe de gauche se refuse à reconsidérer cette question.
Quant aux recettes, l’adjoint aux finances avait évoqué l’idée d’une hausse des impôts lors du DOB !
Un budget, ce sont des recettes contraintes et une gestion rigoureuse des dépenses, c’est une évidence ! Pas à Palaiseau où le maire transfère les charges à la CAPS et reproche toujours à l’Etat de ne pas donner assez d’argent.
Au final, les contribuables payent.
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, F. Vigouroux, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain 06 88 82 89 05
Un budget en trompe l’œil
Cette année le budget a été bouclé au dernier moment : documents budgétaires fournis aux élus « sur table » au dernier moment en commission. Pourtant, d’autres villes, comme Massy, sont parvenues à voter leur budget 2011 en décembre 2010.
Rien d’étonnant : l’équipe majoritaire de gauche répugne à faire des choix économes.
La dette ne baisse pas : son niveau de 2011 avoisine celui de 2001 en intégrant les 1,8M€ d’emprunt du cinéma. Quant à l’érosion monétaire, elle est compensée par le transfert de la dette de la ville sur la CAPS : avec le transfert de certains équipements sportifs et culturels, des voiries, la ville transfère aussi sa dette. Difficile d’affirmer qu’il s’agit d’une bonne opération : la dette sera toujours payée par de l’argent public.
Pour les dépenses de fonctionnement de la ville, le maire choisit encore le statu quo. Nous avons demandé une baisse des dépenses de communication et du poste « Fêtes et manifestations ». Refus catégorique.
Les dépenses de personnel atteignent toujours un niveau sclérosant, captant 62% des dépenses réelles de fonctionnement (56,5% pour les villes comparables). L’équipe de gauche se refuse à reconsidérer cette question.
Quant aux recettes, l’adjoint aux finances avait évoqué l’idée d’une hausse des impôts lors du DOB !
Un budget, ce sont des recettes contraintes et une gestion rigoureuse des dépenses, c’est une évidence ! Pas à Palaiseau où le maire transfère les charges à la CAPS et reproche toujours à l’Etat de ne pas donner assez d’argent.
Au final, les contribuables payent.
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, F. Vigouroux, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain
06 88 82 89 05