Depuis que l’on voit des grues à Palaiseau, traverser notre commune aux heures de pointe est très instructif. Si l’on utilise la voiture, comme 61% des habitants de la grande couronne (INSEE), on s’aperçoit très vite que ça coince. Vallée ou plateau ? Grands axes ou petites rues ? Ces questions nous nous les posons chaque jour pour trouver l’itinéraire le plus rapide.
Dans ces conditions, comment ne pas réprimer une pointe d’agacement lorsque l’on se trouve derrière un, voire deux bus MOBICAPS de 60 places pratiquement vides ?
Les transports en commun sont indispensables pour résorber le trafic automobile, encore faut-il que les lignes soient utiles et correctement dimensionnées. Or la ligne de fond de vallée est manifestement inadaptée : des minibus auraient été plus pertinents, voire des transports à la demande.
Au-delà, c’est au contribuable de payer le déficit de fonctionnement. Depuis 12 ans le déficit de fonctionnement des lignes de bus de la CAPS est chaque année de 2 millions d’€. Cette situation remonte à 2000, date à laquelle la compétence transport a été transférée à l’intercommunalité.
Le président de la CAPS, maire de Palaiseau, vient d’utiliser ces chiffres pour justifier l’augmentation des impôts locaux décidée fin mars. N’aurait-il pas pu, au contraire, depuis 10 ans qu’il dirige la CAPS, travailler à une meilleure gestion des transports en commun ?
La construction de la piscine, avec un autre déficit de fonctionnement très vraisemblable, fait frémir. A quand la prochaine augmentation d’impôts ?
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, ML. Longchambon, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain 07 87 37 47 77
MOBICAPS : le tonneau des Danaïdes ?
Depuis que l’on voit des grues à Palaiseau, traverser notre commune aux heures de pointe est très instructif. Si l’on utilise la voiture, comme 61% des habitants de la grande couronne (INSEE), on s’aperçoit très vite que ça coince. Vallée ou plateau ? Grands axes ou petites rues ? Ces questions nous nous les posons chaque jour pour trouver l’itinéraire le plus rapide.
Dans ces conditions, comment ne pas réprimer une pointe d’agacement lorsque l’on se trouve derrière un, voire deux bus MOBICAPS de 60 places pratiquement vides ?
Les transports en commun sont indispensables pour résorber le trafic automobile, encore faut-il que les lignes soient utiles et correctement dimensionnées. Or la ligne de fond de vallée est manifestement inadaptée : des minibus auraient été plus pertinents, voire des transports à la demande.
Au-delà, c’est au contribuable de payer le déficit de fonctionnement. Depuis 12 ans le déficit de fonctionnement des lignes de bus de la CAPS est chaque année de 2 millions d’€. Cette situation remonte à 2000, date à laquelle la compétence transport a été transférée à l’intercommunalité.
Le président de la CAPS, maire de Palaiseau, vient d’utiliser ces chiffres pour justifier l’augmentation des impôts locaux décidée fin mars. N’aurait-il pas pu, au contraire, depuis 10 ans qu’il dirige la CAPS, travailler à une meilleure gestion des transports en commun ?
La construction de la piscine, avec un autre déficit de fonctionnement très vraisemblable, fait frémir. A quand la prochaine augmentation d’impôts ?
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, ML. Longchambon, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain
07 87 37 47 77