Revue de presse du 17 janvier 2008

Le Parisien édition "Essonne", jeudi 10 janvier 2008, article de Grégory Plouviez et la rédaction (extrait)

 

A deux mois des élections, nous vous proposons un zoom sur les points chauds à côté de chez vous. Sur le département, de nombreuses villes sont susceptibles de basculer.

A SUIVRE à Palaiseau : L’urbanisme comme arbitre

Le maire sortant François Lamy (PS), réélu député cette année, après une belle frayeur, s’est imposé comme le chef de file de l’opération d’intérêt national (OIN), qui vise à urbaniser le plateau de Saclay. Il ne fait aucun doute que Bernard VIDAL, son principal challenger UMP, en fera un cheval de bataille.

 

 


 

Le Parisien édition "Essonne", mercredi 16 janvier 2008, article de Nicolas Jacquard (extrait)

 

… A droite, on y croit ! En tout cas, clairement, on pense qu’il y a un "coup à jouer." Surtout pour Bernard VIDAL, le représentant de l’UMP, qui fait son miel des divisions de la gauche, évoquant ses "amis communistes qui ont subi comme nous le déni de la démocratie" du maire actuel.

"Je note une réelle montée de l’impopularité de François Lamy, tacle le chef de file de l’opposition de droite au conseil municipal qui, en dépit de son étiquette politique, n’hésite pas à villipender le projet gouvernemental d’opération d’intérêt national (OIN). Les chiffres sont délirants et le PLU de Palaiseau voté par la majorité préfigure cette opération. Il faut revenir dessus."

L’intéressé propose ainsi "un parc départemental" sur le Haut-Pileu …

 

Un commentaire dans "Revue de presse du 17 janvier 2008"

  1. KACZMARCZYK Edouard
    KACZMARCZYK Edouard 16 years ago .Répondre

    Passant devant votre permanence, situé en face du Franprix du centre-ville, une affiche a attiré mon œil : le plan du PLU de la ville de Palaiseau. Un plan qui parle et qui vaut tous les discours sur le futur de ce que sera notre ville. Tous les Palaisiens devraient être en sa possession. En effet, qui connaît le PLU ? Si vous abordez un Palaisien dans la rue et vous lui posez la question, je suis certain qu’il vous regardera avec des yeux ronds d’étonnements. Sa réponse risque d’être P pour Paris, L pour Lyon et U il donne sa langue au chat. En effet l’affaire du PLU a été menée de main de maître par le Maire de notre ville. Sous couvert de nous faire participer à ce plan, l’actuelle majorité organisait des réunions de quartier ou certains élus, mais surtout Monsieur le député-maire nous expliquait la division du territoire en plusieurs zones à savoir : zones U, zones AU ou autres zones 1AU et 2AU, espaces boisés classés, pour la plupart d’entre nous, c’était absolument incompréhensible. Il était difficile pour les participants de poser des questions devant ces exposés hautement techniques, sauf pour quelques amis du Maire, ayant appris leur question par cœur et permettant ainsi à celui-ci de continuer à pérorer de plus belle.
    Cadre supérieur dirigeant durant plus de 20 années, j’avais du mal à suivre et je restais bouche bée devant cette connaissance élevée venant d’une personne, sauf mon respect, qui se présentait comme simple ouvrier. Néanmoins le résultat de ces réunions de faible présence ont permis au Maire d’entériner le PLU, la population de Palaiseau ayant été informée dans les règles. Il lui a été donné quitus pour son projet pharaonique. Le mot n’est pas trop faible car nous lui avons donné la clef qui lui permet d’ouvrir de nouvelles portes à la mesure de son ambition qui est sans limite. Maire, député, président de la CAPS, participant à de nombreuses commissions, comme la commission sur les infirmières Bulgares, comment fait-il pour bien faire tout ce qu’il fait ? Un presque Nicolas Sarkozy, le charisme en moins ! Il est certain que son rêve est ailleurs que de finir ses jours à Palaiseau à la différence de la majorité de ses habitants. Mais au fait, qu’a-t-il réalisé ces 7 dernières années ? Excepté la fermeture du cinéma et la construction d’un centre de rétention ainsi que d’un commissariat (nécessaire) dans une rue en cul-de-sac !
    Beaucoup, comme ma famille et moi, ont posé définitivement leurs valises en fin de parcours à Palaiseau, et comme les natifs de cette ville nous l’aimons passionnément, mais sans Lamy.

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