Retrouvez notre tribune du Palaiseau Mag’ de décembre-janvier
Le 13 novembre dernier, à leur tour, les artisans ont manifesté leur ras-le-bol fiscal. Réunis à l’appel de l’union professionnelle artisanale, les boulangers, plombiers ou charcutiers ont décidé de lancer une pétition pour dénoncer le poids croissant des charges qui pèsent sur leurs activités.
Un ras-le-bol de plus ? Certes, mais celui-ci n’est pas anodin. Il y a 1 300 000 entreprises artisanales en France qui font vivre nos communes et notre tissu économique : les magasins de bouche du centre-ville, les artisans qui interviennent chez les particuliers pour réparer le chauffage ou la plomberie, et parmi eux, de nombreuses professions du bâtiment.
Le gouvernement a décidé d’augmenter, au premier janvier 2014, le taux intermédiaire de TVA de 7% à 10%. Cette surtaxe vise l’ensemble des professions artisanales, alors que ces dernières paient déjà deux fois plus de charges patronales que leurs homologues allemandes (38% en France contre 19,5% en Allemagne) : cette nouvelle augmentation des charges est une aberration économique, elle risque de définitivement asphyxier des pans entiers de notre économie.
Cela ne va-t-il pas à l’encontre de la recherche de croissance chère au candidat Hollande ? Ne risque-t-on pas une augmentation du travail au noir ? Ce qui, mécaniquement, aboutirait à une baisse des recettes fiscales !
Il faut tout au contraire aider les artisans pour leur permettre de se développer et d’embaucher. Si chaque artisan créait un emploi, le chômage baisserait de 25% dans notre pays !
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, ML. Longchambon, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain
07 87 37 47 77
Ca craque de tous les côtés !
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Le 13 novembre dernier, à leur tour, les artisans ont manifesté leur ras-le-bol fiscal. Réunis à l’appel de l’union professionnelle artisanale, les boulangers, plombiers ou charcutiers ont décidé de lancer une pétition pour dénoncer le poids croissant des charges qui pèsent sur leurs activités.
Un ras-le-bol de plus ? Certes, mais celui-ci n’est pas anodin. Il y a 1 300 000 entreprises artisanales en France qui font vivre nos communes et notre tissu économique : les magasins de bouche du centre-ville, les artisans qui interviennent chez les particuliers pour réparer le chauffage ou la plomberie, et parmi eux, de nombreuses professions du bâtiment.
Le gouvernement a décidé d’augmenter, au premier janvier 2014, le taux intermédiaire de TVA de 7% à 10%. Cette surtaxe vise l’ensemble des professions artisanales, alors que ces dernières paient déjà deux fois plus de charges patronales que leurs homologues allemandes (38% en France contre 19,5% en Allemagne) : cette nouvelle augmentation des charges est une aberration économique, elle risque de définitivement asphyxier des pans entiers de notre économie.
Cela ne va-t-il pas à l’encontre de la recherche de croissance chère au candidat Hollande ? Ne risque-t-on pas une augmentation du travail au noir ? Ce qui, mécaniquement, aboutirait à une baisse des recettes fiscales !
Il faut tout au contraire aider les artisans pour leur permettre de se développer et d’embaucher. Si chaque artisan créait un emploi, le chômage baisserait de 25% dans notre pays !
Vos élus : B. Vidal, C. Vittecoq, ML. Longchambon, M. Chéniaux, H. Paillet, D. Poulain
07 87 37 47 77