À la différence de 95% des villes essonniennes, la mairie de Palaiseau a appliqué dès 2013 les nouveaux rythmes scolaires pour les 3 000 enfants palaisiens de maternelle et du primaire.
Force est de constater qu’après des mois de cafouillage, les dysfonctionnements restent légion ! Aujourd’hui, nos enfants sont les cobayes d’une mairie qui a souhaité être la meilleure élève de la politique de François Hollande.
Pour servir un calcul politique, la mairie a précipité la concertation et a imposé au forceps une réforme dont ni les parents, ni les enseignants, ni les enfants ne voyaient l’urgence. Cette décision alourdira chaque année d’un demi-million d’euros les dépenses de notre commune.
Sur ce dossier, élu, je m’engage à redonner la parole aux Palaisiennes et aux Palaisiens, afin d’engager une vaste concertation avec les familles et les personnels de l’éducation, pour proposer une réforme qui ait du sens et qui s’inscrive dans un véritable projet éducatif.
Rythmes scolaires, quand c’est flou…
À la différence de 95% des villes essonniennes, la mairie de Palaiseau a appliqué dès 2013 les nouveaux rythmes scolaires pour les 3 000 enfants palaisiens de maternelle et du primaire.
Force est de constater qu’après des mois de cafouillage, les dysfonctionnements restent légion ! Aujourd’hui, nos enfants sont les cobayes d’une mairie qui a souhaité être la meilleure élève de la politique de François Hollande.
Pour servir un calcul politique, la mairie a précipité la concertation et a imposé au forceps une réforme dont ni les parents, ni les enseignants, ni les enfants ne voyaient l’urgence. Cette décision alourdira chaque année d’un demi-million d’euros les dépenses de notre commune.
Sur ce dossier, élu, je m’engage à redonner la parole aux Palaisiennes et aux Palaisiens, afin d’engager une vaste concertation avec les familles et les personnels de l’éducation, pour proposer une réforme qui ait du sens et qui s’inscrive dans un véritable projet éducatif.