Votre Programme est à la limite de la perfection, mais il me manque des réponses à certaines de mes questions :
Si vous gagnez (et je l’espère), qu’allez vous faire de ce gros bordel de la SFIM?
Allez vous enfin faire payer l’entrée de cette "fête de la ville" qui coute des millions aux Palaisiens (ou la supprimer)?
Allez vous enfin imposer le service minimum aux professeurs des écoles de la ville?
En tout cas courage pour cette dernière ligne droite.
On compte sur vous!
"Allez vous enfin imposer le service minimum aux professeurs des écoles de la ville?"
Allons, David, votre enthousiasme vous emporte 😉
Il ne s’agit pas d’imposer quoi que ce soit aux professeurs, dont nous respectons totalement le droit de grève.
Il s’agit de mettre en place les moyens d’accueil des enfants dans leurs écoles, en mettant à disposition des éducateurs (1 pour 15), qui encadreront les enfants pour des activités de loisirs (pas d’enseignement sans enseignants !).
Ces heures de surveillance sont payés via une subvention de l’Etat, financée par les retenues sur salaires pour faits de grève.
Cette solution concilie les avantages pour les 3 parties :
– les enfants sont accueillis dans un environnement familier et sans danger, avec leurs camarades,
– les parents peuvent aller travailler sans souci
– les enseignants gardent pleinement leur droit de grève, puisqu’aucun enseignement n’est dispensé sans eux !
Votre Programme est à la limite de la perfection, mais il me manque des réponses à certaines de mes questions :
Si vous gagnez (et je l’espère), qu’allez vous faire de ce gros bordel de la SFIM?
Allez vous enfin faire payer l’entrée de cette "fête de la ville" qui coute des millions aux Palaisiens (ou la supprimer)?
Allez vous enfin imposer le service minimum aux professeurs des écoles de la ville?
En tout cas courage pour cette dernière ligne droite.
On compte sur vous!
"Allez vous enfin imposer le service minimum aux professeurs des écoles de la ville?"
Allons, David, votre enthousiasme vous emporte 😉
Il ne s’agit pas d’imposer quoi que ce soit aux professeurs, dont nous respectons totalement le droit de grève.
Il s’agit de mettre en place les moyens d’accueil des enfants dans leurs écoles, en mettant à disposition des éducateurs (1 pour 15), qui encadreront les enfants pour des activités de loisirs (pas d’enseignement sans enseignants !).
Ces heures de surveillance sont payés via une subvention de l’Etat, financée par les retenues sur salaires pour faits de grève.
Cette solution concilie les avantages pour les 3 parties :
– les enfants sont accueillis dans un environnement familier et sans danger, avec leurs camarades,
– les parents peuvent aller travailler sans souci
– les enseignants gardent pleinement leur droit de grève, puisqu’aucun enseignement n’est dispensé sans eux !
Je partage complètement l’avis de Rodolphe
De même, respectons le droit de grève mais respectons également le droit de travailler.
David